2023
Exposition : Squ'arts d'hiver
Lampyris
Exposition : Barangaï #4
Ambrosia
2022
Haler là !
2021
Exposition : R-CAS Festival #6
Les communicantes : La mémoire des huîtres
2020
Exposition : Sonoptic
Festin nu
2019
Exposition : Portfolios
Les pas-nés
Exposition : À bras-le-corps
Série des Chitines
Statu quo : fragment.II(b)
2018
Pupa l'imaginal
Statu quo : fragment.I(b)
Intox
2016
Exposition : Palpitação Contention
Chérie n°3 : l'escarpolette
Caiu egual...
Casa Beagá
2015
Manifesto
Manifesto, 2015
panneau publicitaire, affiche, mousse expansive, goudron,
170 × 122 × 11 cm
Vue de l’exposition Production dite divergente, ÉESI les ateliers, Poitiers, 2015
Il n’est pas rare de désigner certaines espèces animales, insectes ou végétales comme appartenant à la classe des parasites ou des nuisibles. Ce terme est principalement utilisé de façon péjorative, surtout lorsqu’il vise l’humain, lorsqu’il qualifie ce qui entre en conflit avec un certain mode de vie et qui de ce fait pose problème. Il exprime donc au sens large une relation spécifique entre différentes formes de vie d’un même biotope.
Seulement le terme de parasite en lui-même est méconnu car il existe malgré tout le mutualisme dans le parasitisme : c’est une forme de parasitisme où l’hôte et son invité sont inter-dépendants. Pour vivre mieux, l’un aide l’autre et de façon réciproque chacun y trouve son compte.
Tirés en série grâce à la technique du moulage, une certaine quantité de cocons furent placés dans l’espace urbain au cours de déambulations nocturnes. Agissant visuellement comme d’étranges excroissances, ils furent collés sur divers supports d’affichage publicitaire afin d’en perturber légèrement la lecture.