2023
Exposition : Squ'arts d'hiver
Lampyris
Exposition : Barangaï #4
Ambrosia
2022
Haler là !
2021
Exposition : R-CAS Festival #6
Les communicantes : La mémoire des huîtres
2020
Exposition : Sonoptic
Festin nu
2019
Exposition : Portfolios
Les pas-nés
Exposition : À bras-le-corps
Série des Chitines
Statu quo : fragment.II(b)
2018
Pupa l'imaginal
Statu quo : fragment.I(b)
Intox
2016
Exposition : Palpitação Contention
Chérie n°3 : l'escarpolette
Caiu egual...
Casa Beagá
2015
Manifesto
Lampyris, 2023
matériaux plastiques recyclés, film d’écran LCD, arceaux de tente pliable, néon flexible
500 x 200 x 50 cm
Squ'arts d'hiver, Millau
Lorsque les fadarelles (créatures mi-fées, mi-sorcières) sortent de l’ombre, elles deviennent êtres luminescents, apparaissent dans la nuit telles de virevoltantes lucioles et ne laissent derrière elles que d’éphémères traînées lumineuses.
L’installation, telle une carapace flottante s’inspire des segments composant l’abdomen de la luciole européenne, Lampyris noctiluca, qui de nos jours, à la façon d’une fée se soustrait au regards humain.
La voûte minérale de la Fon Mage devient cavité ou Baume (caverne/grotte) ondoyante et luminescente. Ombres et lumières sculptent alors le plafond, y laissent surgir un bouillonnement de matière fantasmagorique invitant à l’imagination.
En suspens, la forme diaphane fait quelque part écho à son environnement, où les matériaux plastiques rebuts contemporains, viennent côtoyer et apposer leur reflet sur l’ancestrale rocaille.
Communiquent alors un passé peuplé de créatures légendaires et un futur modelé par les activités humaines.