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Statu quo : fragment.I(b)

2023
Exposition : Squ'arts d'hiver

Lampyris

Exposition : Barangaï #4
Ambrosia

2022
Haler là !

2021
Exposition : R-CAS Festival #6

Les communicantes : La mémoire des huîtres

2020

Exposition :  Sonoptic
Festin nu

2019
Exposition : Portfolios
Les pas-nés
 
Exposition : À bras-le-corps
      Série des Chitines
      Statu quo : fragment.II(b)

2018
Pupa l'imaginal
Statu quo : fragment.I(b)
Intox


2016
Exposition : Palpitação Contention
  Chérie n°3 : l'escarpolette
     Caiu egual...
     Casa Beagá
 
2015 
Manifesto

 

Statu quo : fragment.I(b), 2018
boîtes de conservation alimentaire, moulages de plâtre, divers outils

   L’action réalisée de nombreuses fois sur une parcelle de bâche plastique, consistait pour l'artiste à figer des parties de son corps par la prise d’empreinte, tantôt en direct au contact d’un public, tantôt parmi d’autres productions dans un espace partagé. Ce sont des temps de production qui furent directement contraints par le lieu dans lequel se déroulait l’action et donc la façon dont l'espace était agencé.

Le geste médical de panser et appliquer la bande plâtrée oblige parfois à se mettre physiquement en difficulté. C’est une action qui permet d’appréhender les propres limites de son corps, sa souplesse ou sa capacité à ne plus bouger pour réussir l'exercice.

Les vestiges laissés sur place font office de trace et ne sont donc pas une forme définitive ni un aboutissement mais plutôt une culture en devenir, un agrégat de matière brute à la façon d’un non finito en perspective de mutation.

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